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Netflix est de retour avec un autre clone de John Wick

Cette déclaration aurait probablement pu être faite il y a quelques films, mais les félicitations s’imposent pour John Wick après avoir atteint le Mourir dur statut de remake infini. Tout comme une génération de films d’action a vendu au public des variations sur la même idée sous le slogan « c’est Mourir Dur sur un _____ », Hollywood a apparemment donné son feu vert à des projets peaufinant la formule gagnante de « l’assassin d’élite qui n’a qu’une seule préoccupation dans ce monde cruel se déchaîne et se venge ». Cela ne doit pas nécessairement être une mauvaise chose, comme le récent véhicule de Bob Odenkirk Personne l’a prouvé, rafraîchissant le concept en plaçant un homme aux manières douces dans le rôle de machine à tuer. Ce film a bénéficié d’une crédibilité supplémentaire en ayant John Wick le co-réalisateur David Leitch en tant que producteur, tout comme celui de Netflix Kate, le dernier né de cette lignée de barils fumants et de plaisanteries glacées. Malheureusement, le énième ballet de balles au néon se rapproche beaucoup plus de l’arnaque que du riff.

Mary Elizabeth Winstead ouvre la voie cette fois-ci dans le rôle de Kate, une arme à feu endurcie élevée depuis l’enfance pour étouffer ses sentiments afin qu’elle puisse se concentrer sur l’adresse au tir et le combat au corps à corps. (Même accord que Karen Gillan lors du mois de juillet dernier Milk-shake à la poudre à canon.) Elle ne fait confiance à personne d’autre qu’à son maître et figure paternelle adoptive, joué par un Woody Harrelson actuel au meilleur. (Même deal que Paul Giamatti dans Milk-shake à la poudre à canonjusqu’à la révélation éventuelle de ses intentions.) Le problème dans cette itération du récit de plus en plus usé est que Kate a reçu un poison auquel elle succombera dans 24 heures, ce qui signifie que le meurtre qu’elle venge est… sa propre. (Même chose que Milk-shake à la poudre à canonmais dans celui-là, le cha de Gillanracter n’a été injecté qu’avec un sérum paralysant. Cela s’est dissipé après environ une demi-heure, un peu comme ce film.)

Le véritable facteur distinctif apporté par Cédric Nicolas-Troyan, un spécialiste des effets visuels de carrière qui n’a réalisé qu’un seul autre long métrage, Le chasseur : la guerre d’hiver– est le décor japonais et son engagement intense avec celui-ci. Kate élimine un patron yakuza dans un prologue et rend orpheline sa jeune fille, Ani (Miku Patricia Martineau), qui deviendra bien sûr l’acolyte grinçante et courageuse une fois qu’elle réapparaîtra lors de la prochaine mission de Kate à Tokyo des années plus tard. (Cette chose exacte se produit également dans Milk-shake à la poudre à canon, même la jeune fille inconsciente découvre leur véritable lien au même moment dans le deuxième acte !) C’est alors que le temps commence à tourner dans leur vie, les femmes étant toutes deux ciblées par des gangsters cherchant à faire le ménage. Leur malaise initial cède bientôt la place à un lien parent-enfant de substitution avec une saveur de base de girl power, Ani admirant Kate pour être une « dure à cuire » et une « fille tueuse totale ».

Le public a de bonnes raisons de regarder de travers une dynamique raciale qui voit une femme blanche faucher vague après vague d’ennemis asiatiques sans visage, et le scénario tente faiblement de s’en sortir avec des fissures occasionnelles sur les idiots. gaijin. Mais l’aveu significatif d’Ani selon lequel elle se sent comme une paria en raison de sa filiation à moitié blanche centre une fois de plus le point de vue de Kate et des personnes qui peuvent se voir dans son identité étrangère. En parlant de ça, le netflick de Jared Leto, tout aussi yakuza, L’étranger reflète de nombreuses génuflexions à la limite de l’insulte à l’égard de la culture japonaise Kate. Qu’il s’agisse d’un arrêt au stand d’un concert de J-pop, d’un petit intermède de kabuki, d’un gag courant sur les saveurs exotiques des sodas, de phrases comme « le plus regrettable » ou de l’anime de style chibi T.Avec la chemise que Kate porte la majeure partie de son dernier jour, la fascination de Nicolas-Troyan ne va jamais plus loin que la grande nouveauté recherchée par un touriste.

Ce n’est pas bon signe que presque tout dans le film semble venir d’ailleurs, le plus prononcé dans une scène de combat qui recycle un mouvement de porte de réfrigérateur provenant de celui de Leitch. Blonde atomique. Même si la chorégraphie de combat qui a rendu cette veine du cinéma si populaire est à la hauteur, et si Winstead gère ses pas avec brio même lorsque son personnage s’effondre, ce film devrait aspirer à être plus qu’un système de livraison pour quelques fusillades solides. L’espace entre les décors destinés à attirer les foules peut être rempli d’intelligence et de cœur aussi facilement que rien. La surveillance moindre des productions de genre insolites a donné aux cinéastes motivés l’occasion de montrer leur travail et d’essayer certaines choses. Ou c’était le cas auparavant ; Dans notre nouvelle ère de contenu dicté par des algorithmes, les ordinateurs peuvent prendre toutes ces décisions créatives embêtantes en un temps record. L’inconvénient semble être que cette méthode aboutit à une similitude éhontée, une bouillie tiède servie encore et encore. Et encore. Et encore. Et encore.

Le texte ci-dessus est une traduction automatique. Source: https://www.avclub.com/another-elite-assassin-another-rampage-haven-t-we-seen-1847612089?rand=21406

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